Les effets du neurofeedback NeurOptimal® sur la dépression et l’anxiété
Voici l’interview de Johanna, une jeune femme souffrant de dépression et d’anxiété.
Q : Pourquoi avoir choisi de faire l’expérience du neurofeedback NeurOptimal® ?
R : J’ai une épilepsie pharmaco-résistante depuis 10 ans. Les épileptologues qui me traitent ont fini par me dirent clairement qu’il fallait que j’apprenne à vivre avec ses crises parce qu’elles ne seraient pas réglables. Ils m’ont conseillé de me tourner vers des soins para-médicaux pour me soutenir des crises et des traitements médicamenteux, extrêmement lourds, même si peu efficaces.
Q : Comment avez-vous pris connaissance de cette méthode?
R : Via internet par l’association pour la diffusion du neurofeedback (www.adnf.org) et sur le conseil d’une neuro-psychologue de l’hôpital Sainte Anne rattachée à un service spécialisé dans l’aide des personnes souffrants de maladies neurologiques de longue durée.
Q : Comment se déroule une séance?
R : C’est un moment de détente. On s’installe confortablement pour écouter de la musique ou regarder un film, des électrodes positionnées sur la tête pour que le logiciel analyse les signaux électriques du cerveau et interrompe le son à chaque grande variation. Je pensais devoir me mettre dans un état de concentration intense, presque en transe mais ça n’est le cas.
Q : A quelle fréquence faites-vous des séances de neurofeedback NeurOptimal® ?
R : une fois par semaine
Q : Qu’avez-vous ressentie après la 1ère ou la 2 ème séance?
R : Dans mon cas le résultat a été spectaculaire dès la première séance, physiquement et moralement. Mon teint était moins grisâtre, mes cernes moins marquées, mes muscles moins tendus. L’anxiété permanente et la confusion totale dans lesquelles j’étais plongée ont commencé à reculer.
Q : Aujourd’hui, combien de séances avez-vous fait? Avez-vous remarqué des changements positifs?
R : J’en suis à ma 7e me séance environ et cela a tout simplement changé ma vie. J’ai toujours les mêmes crises épileptiques mais à un rythme plus régulier, c’est très avantageux pour moi car je ne les sens pas venir. Alors pouvoir prévoir un créneau de risque limite le danger. Je me remets beaucoup plus vite des crises, mon aspect est moins maladif, mon anxiété a baissée de manière vertigineuse me rendant une forme de confiance en moi. J’ai plus d’envies et je suis beaucoup plus lucide, comme si je sortais d’une très longue zone brumeuse.
Q : En général, que ressentez-vous après une séance?
R : Du bien être et de l’enthousiasme.
Q : Votre entourage a-t-il perçu quelque chose de différent?
R : Tous mes proches m’ont fait la même remarque. Selon eux je retrouve le caractère fort et le côté décisionnaire que j’avais perdu avec la confusion et la peur de dire quelque chose de stupide ou de déplacé. D’ailleurs leur comportement aussi a changé vis-à-vis de moi, ils n’ont plus la perpétuelle inquiétude que l’ont manifeste aux malades.
Q : Si vous n’aviez pas le neurofeedback, comment serait votre vie aujourd’hui?
R : En 10 ans j’ai essayé les meilleurs hôpitaux, les meilleurs services d’épileptologie, les meilleurs neurologues, un nombre hallucinant de médicaments en variant les posologies et les mélanges. Le neurofeedback est la première lueur d’espoir et la première véritable avancée qui m’ait été offerte.
Q : A votre avis, si chacun d’entre nous faisait des séances de neurofeedback NeurOptimal® , comment serait le monde ?
R : Beaucoup plus serein, sans doute plus enclin à porter attention aux autres plutôt que de se refermer sur sa propre problématique; je céderais à la mode en utilisant le terme ” plus cool”.
Q : Si votre cerveau pouvait parler après une séance, que dirait-il?
R : Je crois que mon cerveau, mon esprit et mon corps diraient juste MERCI !!!
C’est succinct mais s’est-ce qui définit mieux mon sentiment, je pense.
Je me permet de rajouter un post scriptum: je suis actuellement prise en charge par le service de neurologie de sainte Anne, réputé comme le meilleur de France. Ces spécialistes sont d’une extrême compétence, s’ils n’ont pu maitriser mon épilepsie c’est parce qu’elle fait partie des 2% des épilepsies incurables. La neuropsychologue qui m’a recommandé de me tourner vers des soins paramédicaux a mentionné le neurofeedback mais n’en connaissait pas vraiment la technique. Maintenant que j’ai pu les renseigner sur le processus ce service d’élite est très intéressé par la méthode et ne va, je pense, pas tarder à passer à l’action, comme l’a déjà fait l’Hôpital de la Pitié Salpétrière.
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